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Introduction de Pierre ROUSSEAU à la conférence débat de l’ACV le 13/06/2009 2/2

L’homéopathie est considérée comme faisant partie des médecines douces. Ne s’opposant pas aux avis médicaux et n’ayant pas d’effet secondaire, elle est considérée comme complémentaire à la médecine classique. Elle s’en différencie par ses principes et par son traitement.

Ainsi, deux patients souffrant de la même maladie peuvent se voir prescrire des remèdes homéopathiques différents parce que leur « constitution » ou leurs symptômes spécifiques ne sont pas les mêmes (par exemple : ils ont le « même » rhume, mais pas le même écoulement nasal).

Mais ne nous cachons pas que l’homéopathie, technique thérapeutique unique en son genre  suscite toujours beaucoup de controverses. Si depuis environ deux siècles, les partisans inconditionnels de l’allopathie et de l’homéopathie s’affrontent, et si l’homéopathie ne peut pas entièrement remplacer l’allopathie, il faut cependant reconnaître que cette méthode thérapeutique donne des résultats probants, que l’on y croit ou que l’on n’y croit pas ! Elle compte de par le monde des millions d’adeptes et je précise à cet égard que la Suisse vient d’inscrire les « médecines nouvelles » dans sa constitution.

Voilà, je m’arrête là ; je ne voudrais pas parler à la place de Marie-José dont je rappelle qu’elle est pharmacien, diplômée de l’Université de Paris V Renée Descartes, titulaire d’un master d’homéopathie et enseignante à l’école des préparateurs en pharmacie de Paris.

J’espère ne pas avoir été trop long dans mon introduction. Marie-José tu as la parole !

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